vendredi 5 mars 2010

Nothing else


Schiele.

1 commentaire:

  1. C'est dingue comme quand je te lis, c'est moi que je vois, quelques années en arrière. Tu as cette nostalgie en toi, cette belle nostalgie. Cette nostalgie de l'artiste, de l'amoureux des artistes.

    Schiele et son monde intérieur, tordu, disproportionné, complexe. J'imagine que ça ressemble à ce qui se passe dans ta tête comme ça ressemblait à ce qui se passait dans la mienne.

    Cette envie de culture, ce besoin de tout prendre en même temps, tout absorber pour se rasasier et penser que ça va nous soigner. Tout ça, je l'ai connu et je le connais encore parfois. Mais moins. Pourquoi moins? Parce que je me suis trouvée un peu plus, parce que tu te rencontreras aussi un jour, au coin d'une rue. Tu verras.

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